Christoph Theobald
À propos de la réception des « grands classiques » de la théologie du XXe siècle – l’exemple de Karl Rahner
Il n’est pas exagéré d’affirmer que les Actes qu’on vient de lire marquent un seuil dans la réception de l’œuvre de Karl Rahner en francophonie. Il y a au moins quatre conditions essentielles permettant une telle réception. Elles ont été mentionnées dans les contributions de Benoît Bourgine et de Philip Endean ; sur un plan plus universel, elles ont été abordées dans les articles d’Albert Raffelt et de Klaus Vechtel, qui figurent dans le numéro préparatoire (RSR 108/3 [2020], p. 361-404). Les rassembler, pour finir, et les détailler peu ou prou permet de réfléchir aux rapports que nous entretenons plus globalement aux théologiens marquants de la deuxième moitié du XXe siècle et d’ouvrir quelques pistes de recherche pour l’avenir.
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